Boulogne-Billancourt – le 19 janvier 2022 – Dynatrace (NYSE : DT), the software intelligence company, dévoile les résultats d’une étude mondiale indépendante, menée auprès de 1 300 DSI et professionnels de l’IT impliqués dans la gestion des infrastructures. Cette étude lève le voile sur les défis rencontrés par les organisations qui se tournent massivement vers des architectures multicloud dans le but d’atteindre l’agilité et la scalabilité dont elles ont besoin pour suivre la cadence de la transformation digitale. Les stratégies multicloud ont généré une complexité accrue, et dans leurs efforts pour monitorer et gérer des environnements en perpétuelle évolution, les équipes en charge des infrastructures se retrouvent submergées de données. Elles consacrent donc davantage de temps à des tâches manuelles de routine, ce qui limite leur capacité à se concentrer sur l’innovation, et met en lumière le besoin croissant de faire appel à l’intelligence artificielle et l’automatisation.
Le rapport mondial 2022 « The move to multicloud environments has broken traditional approaches to infrastructure monitoring » est disponible en téléchargement ici.
L’étude révèle notamment que :
• 99% des organisations ont un environnement multicloud, avec en moyenne 5 plateformes différentes – incluant notamment Amazon Web Services, Microsoft Azure, Google Cloud Platform, et IBM Red Hat.
• Les organisations s’appuient, en moyenne, sur 7 solutions différentes de monitoring des infrastructures pour gérer leurs environnements multicloud, ce qui, pour 57% d’entre elles, complique l’optimisation des performances et de la consommation de ressources de leur infrastructure.
• 81% des responsables IT reconnaissent que l’utilisation de Kubernetes a rendu leur infrastructure plus dynamique et plus complexe à gérer.
• 56% des responsables IT déclarent que les solutions traditionnelles de monitoring des infrastructures ne répondent plus à leurs besoins dans un monde d’environnements multicloud et Kubernetes.
« Les stratégies multicloud sont essentielles pour rester en phase avec l’accélération croissante de la transformation digitale, mais les équipes ont du mal à gérer la complexité générée par ces environnements, explique Bernd Greifeneder, fondateur et CTO de Dynatrace. Le nombre de dépendances augmentent de manière exponentielle, du fait de l’accélération de la fréquence de déploiements et des changements constants engendrés par les architectures cloud natives. Les technologies open source compliquent encore davantage les choses en démultipliant les données que les équipes doivent gérer. Et pour couronner le tout, chaque service ou plateforme cloud vient avec sa propre solution de monitoring. Pour avoir une vue d’ensemble, les équipes sont obligées d’extraire manuellement des informations de chaque solution, puis de les combiner à des données issues d’autres tableaux de bord. Les organisations doivent donc trouver un moyen d’aider ces équipes à réduire le temps qu’elles passent sur des tâches manuelles, et à se recentrer sur un travail stratégique qui permette de fournir aux clients de nouveaux services de haute qualité. »
L’étude rapporte également que :
• 61% des responsables IT déclarent qu’une observabilité partielle de leurs environnements multicloud représente un frein essentiel à leur transformation digitale, en empêchant les équipes de monitorer facilement leur infrastructure de bout-en-bout.
• 58% des responsables IT souligne que la gestion de leur infrastructure épuise leurs ressources à mesure qu’augmente l’utilisation de services cloud, et que leurs équipes sont obligées de naviguer entre différentes solutions et différents tableaux de bord pour obtenir des informations.
• Les équipes IT consacrent près de la moitié de leur temps (42%) à des tâches manuelles de routine pour simplement « assurer le fonctionnement » dans leurs environnements, conduisant à une perte conséquente de productivité et d’opportunités de revenus, compte tenu des retards en matière d’innovation.
• Plus de la moitié (56%) des responsables IT pense que les approches traditionnelles de monitoring des infrastructures doivent être remplacées par une plateforme capable de fournir une observabilité étendue de l’ensemble de leurs environnements multicloud.
« Les équipes en charge des infrastructures ont besoin de solutions pilotées par IA, capables d’automatiser autant de tâches manuelles que possible, poursuit Bernd Greifeneder. Grâce à une découverte et une instrumentation automatiques et continues, les équipes peuvent réduire leurs tâches manuelles tout en maintenant une observabilité étendue de leurs environnements multicloud hybrides. Mais l’observabilité seule ne suffit pas. Il faut aussi que les équipes puissent accéder à des réponses précises qui les aident à optimiser efficacement leurs environnements. Les approches traditionnelles ne sont tout simplement plus adaptées, dans la mesure où elles requièrent un travail manuel conséquent. Les organisations ont besoin d’une approche plus intelligente, qui combine IA, automatisation et observabilité étendue, afin de dégager du temps à leurs équipes et leur permettre de se concentrer sur l’accélération de leur innovation et l’optimisation des expériences utilisateurs. »
Ce rapport est basé sur une étude mondiale, menée par Coleman Parkes et commandée par Dynatrace, auprès de 1 300 DSI et professionnels de l’IT impliqués dans la gestion des infrastructures, au sein d’entreprises de plus de 1 000 employés. L’échantillon inclut 200 répondants aux États-Unis, 100 en Amérique latine, 600 en Europe, 250 en Asie-Pacifique et 150 au Moyen-Orient.